Douleurs et vertèbres thoraciques
Auteur : Fabio Buratti – physiothérapeute
La colonne thoracique
La colonne thoracique est composée de 12 vertèbres thoraciques (ou vertèbres dorsales) : en anatomie on les numérote de T1 à T12 pour les identifier.
De haut en bas, chaque vertèbre devient plus volumineuse que la précédente afin de supporter toujours plus le poids.
Enfin, elles s'articulent avec les côtes de notre cage thoracique pour protéger le cœur et les poumons. Ainsi, la colonne thoracique s'étend depuis la base de la nuque jusqu'aux dernières côtes.
Mais à quoi servent les thoraciques?
En s'articulant avec les côtes, elles permettent à notre cage thoracique de s'expandre et se resserrer au gré de nos respirations.
Comme le reste de la colonne, les vertèbres thoraciques bougent en flexion (lors de l'expiration ou pour se pencher), en extension (lors de l'inspiration ou pour se redresser), en inclinaison (lorsqu'on se penche sur on côté) et en rotation (lorsqu'on se tourne pour regarder par dessus son épaule).
Des combinaisons de chacun de ces mouvements permettent à la cage thoracique d'ajuster notre posture aux activités que nous faisons.
La mobilité de la colonne thoracique et de la cage thoracique a une influence directe sur la mobilité de notre épaule et de la colonne cervicale. Ainsi, plus la région thoracique est souple et plus le haut de notre corps est mobile.
Mais à quoi servent les thoraciques ?
En s'articulant avec les côtes, elles permettent à notre cage thoracique de s'expandre et se resserrer au gré de nos respirations.
Comme le reste de la colonne, les vertèbres thoraciques bougent en flexion (lors de l'expiration ou pour se pencher), en extension (lors de l'inspiration ou pour se redresser), en inclinaison (lorsqu'on se penche sur on côté) et en rotation (lorsqu'on se tourne pour regarder par dessus son épaule).
Des combinaisons de chacun de ces mouvements permettent à la cage thoracique d'ajuster notre posture aux activités que nous faisons.
La mobilité de la colonne thoracique et de la cage thoracique a une influence directe sur la mobilité de notre épaule et de la colonne cervicale. Ainsi, plus la région thoracique est souple et plus le haut de notre corps est mobile.
Comme le reste de la colonne, les vertèbres thoraciques bougent en flexion (lors de l'expiration ou pour se pencher), en extension (lors de l'inspiration ou pour se redresser), en inclinaison (lorsqu'on se penche sur on côté) et en rotation (lorsqu'on se tourne pour regarder par dessus son épaule).
Des combinaisons de chacun de ces mouvements permettent à la cage thoracique d'ajuster notre posture aux activités que nous faisons.
La mobilité de la colonne thoracique et de la cage thoracique a une influence directe sur la mobilité de notre épaule et de la colonne cervicale. Ainsi, plus la région thoracique est souple et plus le haut de notre corps est mobile.
Pourquoi mes thoraciques me font mal ?
Les douleurs thoraciques (dorsalgies) peuvent avoir de nombreuses origines :
- disque intervertébrale (hernie discale, même si plus rare à cet endroit de la colonne)
- osseuse (ex : fracture)
- articulaire (ex : arthrose, blocage articulaire, hypomobilité, ...)
- musculaire (ex : faiblesse, tension excessive, ...)
- nerfs (ex : inflammation d'un nerf intercostal)
- ...
Les mouvements répétitifs ou brusques, les postures prolongées ou le manque de mouvement peuvent également être à l'origine de douleurs.
Dans de nombreuses douleurs de nuque ou d'épaule, on retrouve également un dysfonctionnement de la région thoracique.
Un diagnostic précis pourra guider vers la prise en charge la plus adaptée — même si celle-ci demandera parfois du temps et de la patience.
Et en physio, on fait quoi ?
Cela dépendra du diagnostic posé par le médecin, puis du bilan physiothérapeutique (anamnèse et évaluation clinique).
La prise en charge en physiothérapie peut inclure :
Il n’y a donc pas de solution universelle, mais un accompagnement adapté : chaque traitement doit être personnalisé et évoluer avec les symptômes.
La prise en charge en physiothérapie peut inclure :
- des exercices de mobilisation, de renforcement et de stabilisation,
- des techniques pour soulager la douleur,
- des techniques d'assouplissements des zones tendues ou rigides,
- des mobilisations des tissus neuro-méningés.
Il n’y a donc pas de solution universelle, mais un accompagnement adapté : chaque traitement doit être personnalisé et évoluer avec les symptômes.
Le mot du physio
La colonne thoracique représente la plus grande partie de notre colonne vertébrale, pourtant elle est moins connue du grand public que la colonne lombaire ou cervicale.
Essentielle pour la respiration, la mobilité du bras et de la nuque, cet ensemble de vertèbres assure la mobilité de tout le haut de notre corps.